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La vérité sur la lutte contre le réchauffement climatique anthropique

Chapitre 7 : Nous notons depuis une vingtaine d’année une augmentation des phénomènes climatiques. Info ou intox ?

Nous évoquons ici les phénomènes climatiques, comme les records de chaleur ou les intempéries catastrophiques (tornade, tsunami, feu, éboulement, etc.), qui seraient bien plus importants qu’il y a quelques dizaines d’années, et ce dû au seul réchauffement (ou variation) climatique. C’est du moins l’information que l’on nous donne.

Depuis dix ans environ, il n’est pas un feu de forêt, comme en Californie ou en Australie, qui ne soit une résultante du réchauffement climatique, ou un ouragan dévastateur que l’on affuble de la même cause. Tout semble dû au réchauffement ! Même en 2020 et 2021, les écologistes nous ont expliqué que le Covid-19 était un signe du réchauffement climatique ! Un article du 5 février 2021 dans Les Echos (1) titre : « Covid : le réchauffement climatique est-il à l’origine du coronavirus ? Une étude parue ce vendredi 5 février avance que le réchauffement climatique pourrait avoir contribué au passage du coronavirus responsable de la Covid-19 de la chauve-souris à l’homme. »

Tout comme le CO2 est coupable de tous les maux (cf. chapitres 5 & 6), le réchauffement du climat est devenu en quelques années la cause universelle !

Le problème réside dans le fait que pour le grand public il est difficile de se faire une opinion juste de la chose, car il existe un véritable prisme médiatique. Ainsi, la moindre intempérie fait la Une de la presse, augmentant la sensation de croissance exponentielle des phénomènes climatiques graves, auxquels la cause du réchauffement climatique est appliquée à chaque fois. Il y a environ 400 catastrophes naturelles de grandes ampleurs, dans le monde, par an. Il y a 30 ans, ce chiffre était identique, mais, le journal télévisé n’en relatait que peu, aujourd’hui, à presque chaque édition du JT de 13H ou de 20H il est fait mention d’une de ces catastrophes… Dès lors, vue à hauteur d’Homme, la communication répétitive ainsi opérée modifie notre perception des choses, d’autant qu’il ne nous est matériellement impossible, à titre individuel, de comptabiliser les faits.

De plus, il est fréquent que les informations diffusées soient parcellaires, nous montrant que ce que l’on veut bien nous montrer, ou relevant de la désinformation en présentant les événements sous un certain angle…

Une preuve de ce type de détournement d’information peut être mise en exergue avec un article récent du journal Libération (repris par de nombreux autres titres). Ce journal publie un article le 27 juillet 2022 (2) dont le sujet est le réchauffement des mers, et l’impact sur les coraux. A la lecture de ce papier, nous apprenons que les barrières de corail meurent par milliers, la faute au réchauffement climatique. Et cette information vient conforter un discours ambiant depuis des années. Notre cerveau étant plus sensible, pour des raisons de survie, aux mauvaises nouvelles, cet article ne fait que valider une opinion que nous tenons pour factuelle car rabâchée plusieurs centaines de fois par an. Vous-mêmes, cher lecteur, êtes probablement convaincus de cette fin inéluctable des coraux. Sauf qu’en réalité ce n’est pas le cas, du moins pas partout, en effet la plupart des grandes barrières voient une augmentation de leurs coraux ! Peu de temps après l’article de Libération, le 3 août 2022, l’Institut australien des sciences marine (AIMS), édite son rapport public annuel (3), et nous apprend que : « le nord et le centre de la Grande Barrière de Corail ont enregistré leur plus grande couverture corallienne depuis 36 ans ». Cette étude porte sur l’analyse de 87 barrières. Et des analyses similaires sont aussi faites dans d’autres endroits du monde. En fait, de nombreuses barrières ont bien soufferts suite à un réchauffement de la mer (le corail a tendance alors à blanchir puis à mourir), mais pas dû au réchauffement climatique, mais à un phénomène climatique bien connu El Niño qui a des cycles, et qui en 1998, 2002, 2016 et 2019 a été plus virulent. Passé ces épisodes ponctuels, comme la planète en connaît depuis son origine, les coraux reprennent le cours de leur vie, avec certes un délai pour se rétablir.

De la même façon, si je vous dis que les populations d’ours polaires sont en progression, cela va à l’encontre de ce que vous pensiez savoir faisant échos aux nombreux articles relatant le contraire : l’Homme détraque le climat avec pour conséquence la disparition des ours polaires ! Ours qui sont devenus, malgré eux, un emblème du climat : vous vous souvenez sans doute de la célèbre photo d’un ours polaire seul sur un morceau de banquise à la dérive, ou de celle présentant un ours rachitique qui soi-disant ne trouvait plus le moyen de se nourrir. Dans les deux cas, c’est le réchauffement climatique qui est incriminé. Sauf que ces deux photos sont des « fake » comme on dit dans la presse. Concernant la première il s’agit d’un photo montage (l’auteur expliquera qu’il voulait exprimer une idée, celle que les ours meurent à cause de nous) (3.1). Quant à la seconde, elle n’a rien à voir avec le climat, puisqu’il s’agit d’un ours malade en fin de vie (3.2)… Résultat, pour la majorité de nos contemporains, les ours polaires sont en voie de disparition… Et pourtant, les ours se portent très bien ! En 1970 ils étaient officiellement référencés entre 7 000 et 8 000 individus, en 2017 le chiffre était de 26 000, et en 2021 la barrière des 30 000 a été dépassée ! Avouez que cette information, dont la source est vérifiée car établie par un rapport de Mme Crockford (4), zoologiste à l’université de Victoria (Canada), qui est la spécialiste mondiale des ours polaires, change pas mal de choses quant à la vision de l’impact climatique sur ces animaux. Et aussi, remet en question les flux médiatiques qui donnent un autre type d’information.

Le but est ici à chaque fois le même : jouer sur la charge émotionnelle du public.

A travers ces deux exemples, étendards écologistes, nous voyons la différence entre les discours médiatiques et politiques, et la réalité du terrain. Entre l’émotion et la réflexion. Au-delà des coraux et des ours, il nous est fait injonction plusieurs fois par jour d’avoir peur du réchauffement climatique cause de catastrophes naturelles dont l’augmentation est le signe du début de la fin du monde…

Alors, qu’en est-il réellement ?

Bien plus précis que les chiffres donnés par le GIEC ou encore par les nombreux articles de presse sur le sujet, il existe un indicateur qui constitue incontestablement le meilleur reflet de la réalité. Indicateur dont curieusement, ou pas, on ne vous parle jamais, les médias s’en faisant que très rarement l’écho. Et pour le trouver, il faut se tourner vers les assureurs !

En effet, ce sont les sociétés privées d’assurances qui disposent des meilleurs chiffres et projections concernant les phénomènes climatiques naturels et leurs conséquences financières. Les meilleurs data-analystes du monde, dont le rôle est d’estimer la probabilité d’un risque à venir, sont embauchés par les grands groupes d’assurances. Toute la réussite de ce marché, qui pèse des centaines de milliards de dollars, s’appuie sur sa capacité à estimer le plus justement possible les risques (qui sont donc par définition une projection potentielle). C’est une question de survie financière.

Et il s’avère que ces groupes éditent chaque année des rapports, qui sont publics…

Regardons une des plus grandes sociétés de ce secteur, le groupe britannique AON, qui est un assureur et un réassureur (il assure les assureurs), et qui dispose de bureaux dans plus de cent pays. Cette source est sans conteste possible la meilleure vision non partisane de ce qui se passe réellement sur notre planète.

Dans son rapport 2019 (3.3) (cette tribune a été écrite à l’origine en 2020, le rapport 2021 qui donne les mêmes tendances est également disponible), AON analyse principalement : le nombre total d’évènements ; La mortalité induite par ces événements ; l’activité cyclonique ; et les incendies. Or il s’avère que ce rapport, que je vous invite à lire, ne dénote aucune variation significative par rapport aux années précédentes.
Oui, vous avez bien lu. Ce très grand groupe international d’assurance, qui dispose des meilleures équipes en termes d’analyse du risque, qui investit en étude sur ce sujet des millions de dollars annuellement (soit bien plus que ne le fera jamais le GIEC), ne dénote aucune tendance manifeste à la hausse des catastrophes naturelles.

Ce rapport contient un graphique (page 13) qui donne une compilation du nombre de catastrophes pour les USA, l’Amérique du Sud, l’EMEA (Europe, Middle East & Africa) et l’APAC (Asia & Oceania), il en ressort les chiffres suivants :

en 2002 AON comptabilise 368 catastrophes naturelles,
en 2005 403,
en 2008 428,
en 2009 379,
en 2010 420,
en 2014 373,
en 2017 399
et en 2019 409.

Comme vous le voyez, depuis vingt ans, il n’y a pas de variation significative, la moyenne étant stable à environ 400.

La page 16 donne une analyse des phénomènes cycloniques mondiaux, sur la période 1990 à 2019. Et il s’avère que leur nombre a baissé ! Soit 58 en 1990, et 52 en 2019.

Le rapport 2019 du Global Warming Policy Foundation (que vous pouvez télécharger ) fait un relevé des ouragans ayant frappé les USA depuis 1851, et arrive à la même conclusion : aucune augmentation.
A titre indicatif, le rapport du GWPF qui porte sur les divers sujets du climat, et pas seulement les cyclones, est introduit par : « 2019 a vu la poursuite de nombreuses tendances climatiques, la plupart peu alarmantes et même rassurantes. »

Concernant les incendies de forêts, une analyse des données satellitaires prouve une baisse de 25% de la surface brûlée en 20 ans (Andela et al. juin 2017 (3.4) ).

Concernant le risque d’inondation des côtes, et de façon plus empirique, vous noterez que les prix de l’immobilier pour les biens en front de mer des pays occidentaux n’ont pas baissé depuis plusieurs décennies, bien au contraire, et que les primes d’assurance n’ont pas augmenté (plus que l’inflation). Le magazine « Bretagne Economique » de nous apprendre que le prix de l’immobilier dans le Finistère a augmenté de 44% en 5 ans en ce qui concerne les biens sur la côte (4)… Or s’il existait un risque réel de montée des eaux sous un délai court, soit une ou deux générations, les prix des maisons avec vue sur la mer se seraient écroulés. Je vous invite à vous rendre sur les sites de vente immobilière en France, Italie, Espagne, Grèce, USA, Australie, vous verrez que les tarifs, comme en Bretagne, des biens en front de mer sont très élevés et augmentent chaque année. De la même façon, si un tel risque était manifeste, les groupes d’assurances l’auraient calculé et reporté dans leurs tarifs qui auraient explosés. Mais ce n’est pas le cas, en ce qui concerne les primes d’assurances, vérifiez donc auprès des professionnels du secteur, vous verrez qu’il n’existe aucune surprime pour un bien situé sur le trait de côte. D’ailleurs, selon les professionnels de ce secteur, s’il existait un risque réel de submersion des côtes à moyen terme, ils refuseraient tout simplement d’émettre des contrats pour assurer les biens en question, car le risque avéré serait trop important et donc l’activité d’assurance impossible à rentabiliser.

Dans la même veine, la plupart des Etats, dont la France, émettent des obligations (OAT obligations assimilables du Trésor), sur des durées qui vont de 2 à 50 ans (3.5). Selon la logique du GIEC, des emprunts émis à plus de 20 ans (soit un peu avant 2050), ne devraient trouver aucun preneur, puisque le risque de faillite des Etats aux catastrophes annoncées est énorme, ou, à minima, les taux (qui est toujours indexé sur la durée et le risque) devraient être très important. Or, ce n’est pas le cas ! non seulement des OAT à 30 ans ou 50 ans trouvent preneurs, 100% des obligations sont très facilement vendus, mais en plus, les taux sont dans le marché sans aucune surprime. Là encore, pour nombre de spécialiste du risque, l’horizon n’est pas sombre…

On peut reprocher bien des choses au « marché », au système capitaliste, mais ce qui est certain c’est que ce système est très sensible aux risques et traduit directement dans la réalité du terrain d’éventuelles anticipations négatives. Idem en ce qui concerne les cotations de société, les opérateurs de marché (traders) savent parfaitement que les risques à venir sont en général compris dans les cours de bourse avant les événements…

A noter que concernant la montée des eaux, nous aborderons plus en détail ce phénomène sur la base de relevés des marégraphes au chapitre suivant (semaine prochaine).

En conclusion de cette rapide investigation, si vous voulez vraiment connaître l’état des catastrophes naturelles, mieux vaut se tourner vers les groupes d’assurances, les groupes immobiliers, et d’une façon générale le marché, que vers les batailles de chiffres issus des enquêtes médiatiques, ou encore de rapports scientifiques filtrés par le GIEC. Le marché paie « cash » une erreur d’anticipation de risque, et surtout il n’est pas dogmatique (pour le pire, mais aussi le meilleur). Soit il y a une augmentation des catastrophes et une projection dans le temps qui montre une probable continuité, soit ce n’est pas le cas. Et, pour les assureurs, pour le moment, et depuis au moins 50 ans, les données sont stables, aucune urgence à l’horizon.

Ce qui pour autant ne signifie pas que la situation sera identique ad vitam, si une aggravation systémique se fait jour, alors vous verrez vos primes d’assurances exploser, et votre magnifique maison avec vue sur mer valorisée à 1 € symbolique… D’ici là…

Quant aux records de chaleurs, plusieurs choses à savoir.

Il est fait régulièrement mention de records locaux dans différentes régions ou villes, ce qui ne présage pas de l’indice de température globale. Selon différents organismes officiels, dont Météo France, l’année 2019 a été mesurée comme la plus chaude enregistrée au niveau mondial depuis environ 50 ans, et bien entendu imputé au réchauffement climatique. Sauf que cette année a connu un phénomène naturel, El Niño. Certains chercheurs ont retraité les données en retirant l’effet El Niño (5) -ce qu’aurait dû faire le GIEC dans le cadre d’une démarche scientifique honnête-, et dès lors, vous obtenez un gradient de température tout à fait normal. Donc oui, 2019 a été une année chaude dans les faits (mais en réalité pas un record car plus fraiche en moyenne que 2016), mais sans que le réchauffement climatique n’y soit pour grand-chose.

Et c’est ainsi que souvent les médias et certains scientifiques prétendent ne pas mentir. Le constat est juste, sa cause elle, bien plus discutable…

D’autre part, de 1995 à 2010 environ, la Température Moyenne Globale n’a enregistré aucune hausse significative (cf. Chapitre 5). Dis autrement, sur cette période de 15 ans, il n’y a pas de réchauffement (ce qui pour autant ne signifie pas qu’il n’y a pas de phénomène naturel de variation climatique). On notera que cette stabilité thermique continue dans la troposphère, à cette altitude, contrairement aux prévisions du GIEC, la température ne connaît aucune augmentation depuis 1995.

Enfin, un autre élément est apparu il y a peu, ce que l’on appelle « l’influence des îlots urbains ». Il s’avère qu’en 2020, différents organismes, non référencés par le Giec, comme l’Institut Heartland aux USA, ont mis à jour le fait qu’un nombre important de capteurs de température au sol était situé en zone urbaine ou péri-urbaine, or les zones en question sont plus chaudes. De fait, la moyenne des relevés a une tendance à surévaluer les températures ainsi mesurées. Pour simplifier, disons que les relevés donnent une température moyenne en ville, qui n’est pas celle en campagne, et qui donc n’est pas le reflet de la moyenne de tout un territoire donné. Ainsi, quand une année est annoncée la plus chaude par exemple en France (selon les capteurs), dans la réalité la moyenne est plus basse. Ce biais de calcul devrait être corrigé depuis 2021, or ce n’est pas le cas.

Concernant les incidences humaines de ces variations : En 2003, la canicule a fait 19 000 morts en France, soit 0.03% de la population. Bien entendu tout cela était la faute à l’Humanité polluante et au CO2. Sauf que la canicule (mesurée et notifiée…) la plus meurtrière en France a été celle de 1911 qui a duré 70 jours (du 11 juillet au 13 septembre), avec des journées à plus de 40°C, un record absolu, et qui a fait 49 000 morts, soit rapportés à la population d’alors 0.13%, quatre fois plus qu’en 2003 ! Et pourtant en 1911, même les climato-alarmistes ne peuvent accuser les Gaz à effet de serre anthropiques… Ajoutons à ces faits qu’il y a très probablement eu des épisodes encore plus chauds que 1911 dans notre Histoire, ne serait-ce que durant les deux Optimum romain et médiéval.

En 218 avant JC quand Hannibal traverse les Alpes (guerre punique) il dispose dans son armée de 40 éléphants. Et cela impliquait alors plusieurs tonnes de végétaux par jour pour nourrir ces animaux, le tout au sommet des Alpes. Ce simple fait historique, nous indique clairement qu’à ce moment, il y avait une végétation luxuriante dans les Alpes, donc une température bien plus élevée que celle qui y règne depuis plusieurs centaines d’années… Et pour autant nos ancêtres ne sont pas tous morts du réchauffement climatique. A la fin du Xe siècle, quand les Vikings s’installent au Groenland, ils lui donnent le nom de « terre verte » car c’est alors le cas. Et les fouilles archéologiques récentes ont mis à jour nombre de constructions traduisant une vie sédentaire d’agriculteur et d’éleveurs. Inutile de vous rappeler que de nos jours, il serait impossible d’y installer une colonie avec des activités agricoles.

De façon plus ponctuelle (donc qui ne donne pas une tendance climatique), sachez que la température la plus élevée dans le monde, depuis que l’on enregistre de façon fiable cette donnée, a été enregistrée en 1913 à 56.7°C aux USA. Ce record absolu est à ce jour non « battu », et, encore une fois, selon de nombreux spécialistes nos ancêtres depuis 3000 ans, ont nécessairement connu plus chaud. Pour mémoire, en 1913, le CO2 avait une concentration atmosphérique de 0.03%, contre 0.04% actuellement…

Il ne s’agit ici pas de nier le fait que nous avons actuellement une légère augmentation (+1°C, cf. chapitre 4) de la température moyenne globale sur presque 200 ans, mais il s’agit de les mettre en perspective les faits et de ne pas faire du catastrophisme là où il n’y en a pas. La variation thermique fait partie des éléments constitutif de notre planète et de son climat, indépendamment du CO2 anthropique.

Ainsi, au regard des relevés mondiaux, les phénomènes de catastrophes naturelles, ou plus simplement les événements climatiques majeurs, ne sont pas en augmentation sensible et ce depuis au moins plusieurs décennies. A ne pas confondre avec le coût financier desdites catastrophes, qui lui augmente, dû à l’augmentation de population et à l’installation de structures humaines dans des zones géographiques à risques. Concernant les températures, la variation actuelle est modérée, sans impacte notoire, et déjà connu à de nombreuses reprises dans l’Histoire humaine.

La semaine prochaine nous nous attacherons à comparer les prévisions du GIEC faites il y a 20 ou 30 ans, sur lesquelles les politiques se sont appuyées pour modifier nos vies, et la réalité des mesures.

Jacques Laurentie, le 22 août 2022

Ingénieur, auteur (Un autre son de cloche, et Face aux miracles, édition Téqui)

Notes :

Source : https://www.lesalonbeige.fr/chapitre-7-nous-notons-depuis-une-vingtaine-dannee-une-augmentation-des-phenomenes-climatiques-info-ou-intox/